Élodie Parcours DUne Ado En Chaleur - Partie 13
*TOC* *TOC*
-Elo ? .... Tu m'entends ou non ? C'est son beau-père .... Il tourne la poignée !
Élodie a tout juste le temps de fermer l'écran de son laptop, d'attr son téléphone, et de se lever d'un bond pour faire face à la porte les deux mains dans le dos, une main tenant les boules couvertes de mouille et l'autre le smartphone streamant toujours en live, lorsqu'il entre dans sa chambre.
-Putain Elo tu pourrais répondre ! ....
Il se fige dans l'encadrement, interdit ! L'adolescente, raide comme un piquet, est en nage, essoufflée, les seins pointant fièrement sous le fin tissu du mini crop top, le string presque transparent de mouille, les cris de sa jouissance, lorsqu'elle se fait prendre en double dans la ruelle, sortant de son écouteur.
Il vient de la cramer, elle devrait être morte de honte, mais la boule se dessinant sous le pantalon de cet homme qui partage la vie de sa mère, fait pousser une nouvelle vague de chaleur dans son ventre. Le cerveau encore embrumé de la gamine est en train d'imaginer la bite qui fait jouir sa mère lorsqu'il la baise dans le lit conjugal ....
C'est lui qui rompt le silence, la main gauche se grattant la chevelure grisonnante aux tempes :
-Ta mère est encore pas mal vénère ! Elle veut que tu aies mangé avant qu'elle ait fini la tréso !
Nouveau silence gêné .... Il reprend :
-Quand tu .... euuuh .... auras fini, tu viens à table, je t'ai préparer un p'ti truc vite fait! Il vaudrait mieux que vous ne vous croisiez pas ce soir, alors traîne pas !
Le regard du quadra n'arrête pas de monter et descendre de l'entrejambe à la poitrine de sa belle-fille, il finit par se retirer en reculant :
-Bon .... Allez .... Grouille toi, je t'attends à table !
A peine a-t il fermé la porte que le smartphone sonne le rappelle :
*PING*
<Prends un écouteur un gode et visse ton cul sur la chaise ! Tu te branles sans interruption pour nous, pendant 5 minutes ! Et n'oublie pas : tu t'arrêtes sous aucun prétexte, et interdit de jouir!>
"Mais c'est pas vrai putain !" Elle hésite et place son écouteur, une voix métallique linterpelle :
-Bouge ton p'ti cul dsalope ! Tu vas pas te faire prier ? Si ? .
"Pas de doute, c'est bien le connard !" Se convainc l'adolescente qui att le "petit" gode ventouse. Elle colle vite fait son cul sur la chaise et att les couilles de silicone à pleine main pour faire glisser la bite veinée sur sa chatte béante, écartelée par le fil de son string.
-Ooooooh .... putaiiin !
Le seul contact contre ses chairs, en feu et encore un peu douloureuse, lui procure une vague de frissons intenses. Ses gros tétons gonfler pointent, durs comme le bois, à travers le crop top! Elle écarte la ficelle trempée et présente le gros gland contre ses lèvres gorgées de sang et de plaisir :
-Branle toi le clito p'tite pute ! Et plante toi la bite dans la chatte !
Elle sexécute :
-Putain .... Salop .... Qu'est-ce que c'est bon ! .... Huuuuun ....
Elle gémit en s'enfilant en douceur et en profondeur.
-Branle toi salope ! ....
-Huun .... Humph ....
Ses doigts tournent et appuient fermement sur son clito gonfler. La bite couverte de veines saillantes glissent dans ses chairs, elle va jouir, elle ralentit pour contenir sa jouissance :
-Huuun .... Han .... putaiin! ....
-Accélère ! Fait monter ton plaisir de petite trainée ....
-Han .... Oui .... T'aimes m'entendre, hein ? Salop !
Le plaisir monte à nouveau, mais elle est brusquement interrompue :
-Bon Elo .... Tu bouges tes fesses ?
C'est son beau-père qui simpatiente ! D'instinct, la gamine ralentit, mais c'est sans compter son corbeau :
-T'arrêtes pas pétasse ! Accélère et répond que tu arrives !
-(Nan putain! pas ça!) Chuchotte-t elle !
-Grouilles p'tite chienne ou jenvoie !
Elle a le cur qui se brise en mille morceaux, terrassée, vaincue, une larme au coin des yeux, noyée entre plaisir et honte, elle active le pistonnage de sa chatte et se mord à moitié les lèvres pour répondre :
-Hun .
Un léger hoquet entrecoupé des bruits de mouille de son pistonnage vaginal.
-Vas-y p'tite pute ! C'est ça branle toi ! Plus fort ! Approche du plaisir ! Pistonne toi à fond !
Est-ce qu'il va enfin la laisser jouir ? Une lueur d'espoir se profilant, la petite se lâche :
-Oui .... Haan .... Je vais jouir pour toi .... Hun ....
Elle accélère, sa respiration se fait plus lourde, plus sourde, le feu en elle se détend, se propage, elle y est presque ! Accélérant le va et vient en elle, la petite sent l'explosion pousser, grossir au creux de sa chatte. Elle y est presque, ces petits cris étouffés se mélangent aux bruits de mouille, elle pince son téton l'étire de ses doigts humides de mouille. Elle cambre les reins, tend son ventre pour profiter pleinement de sa jouissance ....
-Oui .... Han .... Han .... Han .... Je vais jouir pour toi !
Elle porte ses doigts à la bouche en se pistonnant à fond, les humidifie et s'attèle à branler vivement son clito. Elle y est presque :
-Han .... Oui, regardez-moi jouir bande de salops !
-Stop sale chienne !
La voix dure la coupe soudainement ! Elle reste interdite et pantelante, les jambes écartelées sur son bureau, la mouille dégoulinant entre ses fesses :
-Ferme ton écran, laisse la grosse bite sur sa base à côté de ton laptop et fourre toi les boules au fond de la chatte !
Complètement perdue, l'adolescente s'exécute, les yeux dans le vague, comme un automate sans volonté. Ce salop vient d'interrompre une de ses explosions de plaisir les plus puissantes. Elle en a encore des fourmis dans la chatte alors qu'elle dépose le gode sur sa ventouse trônant vertical, humide, luisant de mouille à côté de son ordi.
La petite gémit doucement en insérant la première boule dans son minou encore gorgé de plaisir inachevé.
-Garde le stream ouvert et va rejoindre ton daron ! Faudrait pas le faire attendre, non? .... Il pause avant d'ajouter .... Et interdiction de retoucher tes fringues !
La petite comprend en se regardant dans le miroir ; ses seins pointent fièrement leurs tétons durcis à travers le tissu presque transparent, et le triangle de son string détrempé ne cache plus rien de sa vulve imberbe. Gênée, oppressée, surveillée et les chairs aux abois, la gamine sort de sa chambre et d'un ton faussement détaché répond :
-J'arrive ....
Élodie sort de sa chambre, sa chatte humide et détendue a du mal à maintenir la pression sur les boules lestées. L'adolescente tend son périnée au maximum pour garder les sphères prisonnières de ses chairs. Comme si la difficulté ne suffisait pas, le frottement de ses cuisses déclenche des mini décharges dans les chairs aux abois. Elle n'est plus qu'in orgasme en devenir, elle a envie d'une bonne bite glissant lentement et profondément dans sa chatte en manque.
-Plus vite petite salope, et préviens ton vieux que tu arrives ! Lui ordonne la voix anonyme, juste avant que les boules se mettent à vibrer en elle par intermittences.
-Hun .... J'arrive S .... Serge .... huuun! Elle essaye de contenir de nouvelles vagues de plaisir.
Les gouttes de cyprine coulent le long de ses cuisses galbées, ses tétons durcissent encore sous le tissu du crop top, et le frottement du coton sur ses mamelons tendus la terrassent de nouvelles sensations complexes, entre douleur strillante et plaisir sourd. Elle chuchote dans son earbud:
-Pitié ! Je fais tout ce que vous mordonnez ! Je peux plus me retenir, s'il vous plaît arrêtez ! C'est trop la honte .
Elle supplie son maître chanteur, accoudée à la cloison du couloir qui la mène dans le salon. Serge apparaît à l'autre bout du couloir, un torchon et une assiette dans les mains.
-Elo ? Qu'est ce qui y a ?
Les vibrations cessent enfin, la belle peut se redresser et retrouver un semblant de dignité :
-Huuuum .... Elle s'éclaircit la voix .... Nan rien, juste jarrive !
La gamine se bat contre le réflexe de remettre ses "vêtements" en place et rejoint son beau-père. Elle essaye de cacher au mieux le triangle transparent de son string et s'assoit dos à la cuisine, mais les boules s'activent à nouveau et un nouvel ordre lui parvient :
-Met toi en face de lui ! Tu voudrais priver le pauvre homme de ce spectacle ?
-Huuunph .... Elle ne peut retenir un soupir de surprise.
-Eh ben alors ma belle ? Les vibrations s'arrêtent et elle peut se déplacer. Il reprend ; Qu'est-ce qui s'est passé pour que tu sois dans cet état ?
Faisant mine de ne pas comprendre l'allusion à l'évidence, la petite détourne la conversation :
-T'inquiète, c'est juste que j'ai un peu de mal avec maman en ce moment, elle arrête pas de m'engueuler, et pour rien en plus!
La brunette a de très bon rapport avec son beau-père, il a toujours pris sa défense même lorsqu'elle a décroché scolairement en troisième. C'est lui qui lui proposait de l'aider dans son travail quand elle passait ses journées à trainer avec les garçons. Elle a honte de s'afficher comme ça, quasiment à poil, devant cette homme à l'air patibulaire derrière ses grosses lunettes et son visage rond et généreux.
Pourtant, elle ne peut s'empêcher de reluquer l'entrejambe du quadra, et la grosse boule qui tend les boutons de sa fermeture. La petite a besoin d'un bon coup de bite, elle veut qu'il la baise comme une malpropre, comme la sale gamine qu'elle est devenue, qu'il se vide les couilles da sa bouche gourmande de foutre. "Putain Elo, arrête ! C'est le mari dmaman !" En même qu'elle veut qu'il la monte comme une trainée, elle a honte d'avoir ce genre de pensée envers celui qui s'occupe d'elle comme un père.
Il lui tourne à peine le dos pour s'occuper de la vaisselle du repas que le vibro reprend sa dance en elle :
-Va le chauffer un peu sinon je balance les vibrations à fond, histoire de te foutre la honte. Mais tu le laisses pas te toucher, p'tite salope ! On va lui montrer quel genre d'allumeuse tu es en réalité !
Les yeux brumeux, possédée par le désir d'une bonne bite épaisse, Élodie se laisse guider comme un automate radiocommandé. Elle se lève et dandine son cul, chaude comme la braise, derrière le comptoir séparant cuisine et salon. L'adolescente se faufile jusqu'au frigo à côté de Serge qui essaye de se concentrer sur sa vaisselle, afin de ne pas reluquer les formes généreuses de sa belle-fille.
Lorsque la gamine passe derrière son beau-père et m glisse délicatement le bout de ses doigts sur les épaules larges de son aîné, qui déglutit bruyamment. Des perles de sueur apparaissent sur son front légèrement dégarni au moment où la fine main caresse son bras pour se diriger vers la poignée du frigidaire. Élodie ouvre la porte et le froid lui donne une chair de poule des plus étrange. Le contraste entre le froid du meuble et la chaleur sensuelle qui se dégage d'elle fait durcir un peu plus ses tétons ultra sensibles.
Elle se penche lentement en avant, faisant bailler le haut du crop top sous la poids de ses mamelles, et s'accroupit à côté de son beau-père, le visage poupon au niveau de l'entrejambe enflée. Elle tortille subtilement ses longues anglaises relâchées et lui demande, gourmande :
-J'me taperais bien un bon gros concombre juteux ! Tu sais pas où je pourrais trouver de quoi me combler ?
A bout de patience et surtout afin d'éviter de violer la petite salope sur place, il éructe en jetant son éponge dans le bac :
-Bon Élodie ....
Elle est bizarrement heureuse d'avoir provoqué une telle réaction et réagit immédiatement :
-C'est bon j'ai trouvé ! Répond-t elle de son sourire espiègle.
Elle se relève en portant une attention particulière à faire glisser le cylindre trapu dans le "O" former par son pouce et son index. Debout à côté de son daron, elle cambre un tantinet les reins et joue avec le légume au niveau de sa bouche charnue. La petite lui lance un regard coquin par-dessus ses lunettes placées "accidentellement" au bout de son petit nez retroussé et file s'assoir, laissant le pauvre Serge seul avec une trique comme rarement il a connu. Le quadra essaye de retrouver son calme, la pression redescend doucement dans son futal.
Élodie n'ose pas se retourner en regagnant la table, et les vibrations faibles du jouet en elle se réveillent au moment où la voix lui ordonne :
-Tord du cul p'tite salope ! Fait le bien bander ce vieux cochons ! Tu aimes allumer les vieux pervers, hein ? .... Pas de réponse, la gamine ne sait quoi dire. .... Réponds-moi ou je te fais jouir sur place !
La petite brune est en transe, elle veut qu'il la fasse jouir, là, maintenant, mais c'est impossible ! Pas devant Serge ! Son cur est sur le point d'exploser, les boules glissent dans sa chatte, elle doit resserrer son périnée mais ça augmente le plaisir des vibrations sur ses chairs gonflées. Elle gémit doucement :
-"hun .... oui j'aime ça!" chuchote-t' elle.
"Bonne réponse !" Le jouet s'arrête instantanément, permettant à la jeune fille de reprendre son souffle. Elle peut enfin aller sassoir ! Assise en faisant face à Serge, elle ose à peine le regarder, et ça ne passe pas inaperçu, la voix se réveille à nouveau :
-Je suis sûr que tu peux faire mieux p'tite trainée !
Les boules glissent dans sa chatte, elle tortille un peu du cul sur sa chaise pour les caler mieux, si le corbeau ne veux pas la laisser jouir elle va au moins essayer d'éteindre le feu d'artifice au bord de l'explosion dans son ventre. Élodie interpelle son beau-père d'une voix mielleuse :
-Serge ? .... Je peux venir manger vers toi ? .... J'aime pas quand t'es loin de moi !
Elle va s'assoir sur un tabouret du bar en tortillant du cul sensuellement, sur la pointe des pieds, afin d'exagérer la cambrure de ses reins dénudés :
-C'est mieux quand on est près l'un de l'autre non ?
Il essaye de formuler une réponse mais reste interdit par les allusions de la gamine. Chaque morceau qu'elle porte à sa bouche est une visuelle pour le quadra qui se farcirait bien cette petite allumeuse. "Ne serait-ce que pour lui donner une leçon !" Mais son conscient reprend le dessus et lui permet de lutter contre ses pulsions. Lorsque la belle finit son assiette, il lui propose de terminer le repas/calvaire :
-Tu prendras un dessert ?
-Met lui le coup de grâce petite garce !
Elle a compris en voyant la coupe de fruits, le regard gourmand, le sourire espiègle elle lui met l'estocade finale :
-Une bonne banane bien dure s'il te plaît !
Le vieux lui tend la corbeille, il ne veut pas lui donner la satisfaction de mener le jeu ! Élodie fait mine de bouder et choisit le plus longue. Le fruit est bien courber, et pas trop épais ; "Parfait mon cochon !" Elle prend malgré elle goût au jeu de séduction qu'on lui a imposé. La jeune pétasse n'a même plus besoin qu'on lui dise ce qu'elle a à faire.
La seule vue de la boule de chair gonfler dans le jeans de son beau-père la satisfait. Bien que son corps, sa chatte et son jeune esprit pervers lui réclament de la bite, elle veut le faire languir, lui faire regretter de ne pas l'avoir soulagée du feu intense et insatisfait qui brûle en elle. Élodie épluche le fruit comme si elle s'effeuillait pour Serge, elle lui lance un regard gourmand en se mordillant la lèvre inférieure :
-Hum ....
La belle approche la tête du fruit de ses lèvres gourmande et aspire la tige tordu avec un regard complice et coquin pour le quadra. Grâce à la courbure du long fruit, elle n'a aucun mal à lui faire passer sa luette, et l'avale en gorge profonde sans plus aucune retenue ! Elle se délecte presque de l'agonie dans laquelle se trouve son beau-père, et elle conclue son petit jeu en retirant lentement le fruit de sa bouche en le faisant coulisser langoureusement entre ses magnifiques lèvres de salope. Espiègle et joueuse jusqu'au bout elle lui sourit finalement, et conclue :
-Bon ben j'vais dans ma chambre puisque m'an m'a punie !
Et elle se retire en tortillant du cul sur la pointe ses petits pieds, et le provoque une dernière fois en tortillant ses anglaises du bout des doigts, d'un regard coquin par-dessus son épaule :
-Bon ben j'vais m'occuper dans ma chambre !
Les boules oscillent dans le ventre de la gamine qui se retire dans sa chambre, pas peu fière d'avoir allumé le bonhomme, même si elle se sent un peu coupable. Une fois seule dans sa chambre, son cur bat la chamade lorsqu'elle réalise qu'il aurait très bien pu la violer sur place tellement elle l'a allumé. Heureusement, elle ne le saura jamais puisque sa mère fait irruption dans l'appart dès que la gamine referme la porte de sa chambre.
Terrassée par sa jouissance toujours refusée, la gamine meurt d'envie de se soulager avec un de ses godes.
Haletante et en manque de plaisir, Élodie se jette sur son lit et ouvre le tiroir de sa table de chevet pour en sortir son mammouth à ventouse. Elle me tient plus, il lui faut une bite ! Elle s'allonge sur le dos et écarte ses cuisses au maximum en tendant le bassin en avant. Elle y est presque, écartant la ficelle de son string pour exposer sa vulve ouverte et détrempée, elle fait glisser le gros gland entre ses lèvres vaginales luisantes et lubrifiées comme jamais.
-Hhhan ouiii .... Huuuum ....
Elle étouffe au maximum ses petits cris de plaisir en se mordant les lèvres ! Elle sent enfin qu'elle va pouvoir se soulager, mais soudain elle entend la poignée de sa porte cliqueter. En panique, la gamine remet le string en place, s'assoit au bord du lit et cache son gode derrière elle, l'air coupable d'une gamine prise la main dans le sac.
Lorsque Serge entre dans la chambre, l'adolescente a l'impression que son cur va exploser dans sa poitrine. Elle se voit dans le miroir devant elle, les cheveux hirsutes, la bretelle gauche de son petit top baissée sur le bras, laissant apparaître la rondeur de son sein.
-Hum hum .... Le quadra s'éclaircit la gorge : J'emmène ta mère au resto, elle est encore en colère après toi ! Soit sage on rentrera assez tard ! Ok ?
-Oui oui tinquiète ! Le rassure l'adolescente qui juste envie qu'il casse pour se branler en paix.
Il s'apprête à partir lorsque soudain il s'arrête, figé, interdit ! Élodie suit le regard perdu de son beau-père en direction de son bureau, elle porte sa main à sa bouche pour sa surprise : "Oh putain le gode!" Elle se rappelle soudain avoir laissé son "petit" gode ventouse à la verticale à côté de son laptop. Elle se tourne à nouveau vers lui, leur regard se croise, elle voit une drôle de lueur illuminer le regard lourd de son beau-père, il lui sourit étrangement :
-Bon ben amuse toi bien ma petite !
Et sans autre mot, il sort rejoindre sa femme. La gamine l'entend lui déclarer :
-C'est bon on peut y aller, elle devrait s'en sortir toute seule !
Alors que ses parents sortent, la petite ne s'empêcher d'imaginer ce que va faire son beau-père de cette information ; "Sa belle-fille s'astique la chatte avec un gode!" Elle le voit déjà la faire chanter à son tour, elle s'imagine contrainte de lui sucer la queue, obligée de l'accompagner sous la douche, se faire baiser comme une malpropre lorsque sa mère ne l'aura pas satisfait au pieu, ....
L'adolescente devrait terrassée par les perspectives qui s'offrent au quadra, mais Élodie se surprend à fantasmer sur ce que va pouvoir lui faire cet homme qui l'a élevée comme sa fille, et les braises incandescentes qui somnolaient dans son ventre s'embrasse à nouveau, sa chatte la gratte comme jamais, ses muqueuses s'humidifient à nouveau dexcitation !
La gamine s'assoit en tailleur au bord de son lit, puis elle att son joli gode ventouse qu'elle présente à sa bouche, en imaginant Serge devant elle lui présentant sa bite tendue qu'elle doit soulager si elle ne veut pas qu'il dévoile tout à sa mère. Elle entend à peine la voix métallique à son oreille qui lui ordonne de démarrer un nouveau live insta. Mécaniquement, dans une semi-conscience, l'adolescente installe son phone à la verticale et démarre son show pour tous les anonymes que son maître chanteur a pu inviter.
Ses sens aux abois, elle commence à sucer le gland offert et les bruits humides de sa bouche gourmande se font déjà entendre dans la chambre :
-Mwack .... Hum .... Tu aimes ce que je te fais Serge ? .... Huuuumm .... Tu aimes ma bouche chaude aspirer ta bite tendue ? .... Mwack .... Slurp ....
Elle passe sa langue sous le frein et lèche le gland sur toute sa circonférence. Les doigts inquisiteurs de sa main libre glissent sur ses seins, sur son ventre, sous le triangle de son string, et commence à jouer avec le bouton enflé de son clito :
-Tu veux que j'te suce salop ? Tu veux me baiser la bouche comme une traînée, hein ?
Elle aspire le gros gland entre ses lèvres humide de désir et la pousse le plus loin possible au fond de sa bouche. Lorsqu'elle atteint la luette, un haut le cur la fait se cambrer en avant pour déglutir le gros sexe déjà couvert de ses glaires :
-MWAH .... Humph .... Humph ....
Elle halète un peu avant de repartir à l'assaut de sa gorge. Élodie lève alors la tête, l'incline en arrière et détend sa gorge au maximum :
-GUAH .... HUMPH ....
La gland est au fond de sa gorge ouverte, et la gamine commence à se doigter la chatte, en rythme avec les mouvement de sa gorge profonde gourmande et humide. La petite sent le plaisir l'envahir, l'humiliation qu'elle imagine son beau-père lui prodiguer l'excite comme une folle. Elle accélère les mouvement longs et profonds de la bite dans sa bouche et malaxe à deux puis trois doigts l'intérieur de ses chairs en fusion :
-GWAH .... GUAH .... GUAH .... GUAH .... HUM .... HUMPH ....
En maque d'air, elle déglutit le monstre veiné, un long filet de bave luisante la reliant encore à cette belle bite, elle se tourne vers son téléphone, suppliante, aux abois, se mordillant la lèvre inférieure en caressant sa chatte exposée du bout du gland humide, et tiraillant sur ses tétons enflés entre ses doigts félins.
Elle s'allonge, écarte les cuisses pour ses spectateurs et fait glisser la bite veinée le long de sa fente pour soulager un peu l'incendie qui brûle en elle. Elle arrache le string qui la gêne et déballe ses grosses mamelles qu'elle tire et étend vers le plafond. Elle supplie son audience :
-J'vous en supplie, pitié, laissez-moi me faire jouir ! J'en peux plus!
-Tu peux t'empaler p'tite pute mais ne jouit pas encore !
Une lueur scintille dans le regard désespérer de l'adolescente, qui, le visage sur le côté, remercie son amant virtuel du regard.
Elle se cambre, arcboute ses reins au maximum lorsque le gland passe enfin la barrière de son vagin aux abois.
-Oh oui ! Putain .... HAAAAAN ....
Les bruits de chair humide emplissent sa chambre alors qu'elle commence à se pistonner en douceur et en profondeur. Elle écrase la gland au plus profond de sa chatte ouverte.
-HAAAAN .... Oui c'est ça ! Prenez moi, bande de salops !
Elle se tourne un peu et glisse deux doigts entre ses fesses pour caresser sa pastille encore sensible du traitement infligé au cinéma. Elle mord de nouveau sa lèvre, le corps secoué de convulsions de plaisir et de douleur mélangés :
-Oh oui .... C'est ça bande de salops .... HAN .... Baisez moi les deux trous en même temps .... Je suis votre putain !
Et ses deux doigts s'enfoncent sans résistance dans son anus détendu de petite chienne. Elle accélère les mouvements de va et vient, cambre encore ses reins sous les vagues de plaisir qui lenvahissent :
-Laissez-moi jouir .... HAN .... HAN .... HAN .... Putain .... Ouiiiiii
Elle voudrait jouir là maintenant, mais elle est retenue par cette peur sourde et si exquise que son corbeau puisse dévoiler toute la vérité à sa mère : elle n'est qu'une petite salope, esclave de ses sens et des plaisirs qu'elle réclame de ses mâles en rut. Son esprit divague à nouveau :
-Vas-y Serge ! Fait de moi ta pute .... HAN HAN HAN ....
L'adolescente se retourne à quatre pattes, la tête enfouie dans sa couette, le cul tendu en arrière en direction de son audience, les reins cambrés au maximum, elle s'empale la chatte en levrette, comme une chienne en chaleur :
-OUI OUI OUI .... HAN .... Fait de moi ta chienne ! .... Ouuuuuuh .... ouiiii putaiiiin !!!!
Perdue dans son extase elle entend à peine son maître chanteur lui ordonner de se faire jouir. Mais son inconscient enregistre l'ordre et la gamine se lâche.
Elle tourne le haut de son buste, donne en spectacle son joli visage angélique tordu du désir de se perdre dans la jouissance de ses sens. Elle décule ses doigts, les lèche tout en se pistonnant la chatte comme une délurée. Elle tire sur son téton enflé, le roule entre ses doigts, et lorsque l'incendie atteint son paroxysme au creux de son ventre pour exploser dans sa chatte, elle le pince et le tord fort, déclenchant une vague de douleur stridente explosant simultanément avec le feu d'artifice envahissant sa chatte :
-Oh Ouiiiiiiii .... Putaiiiiiiin .... Aaaaaahhhh .... Faites-moi jouir comme jamais ....
Son ventre convulse de plaisir, elle se cambre sous la vague de jouissance absolue qui envahit son corps qui n'est plus qu'une plaie de plaisir. L'explosion de mouille jaillit de sa chatte et éclabousse ses cuisses, son ventre, ses fesses alors qu'elle se pistonne la chatte rougie des traitements qu'elle subit depuis trois jours.
Terrassée par le plaisir, la belle s'effondre sur son lit, la poitrine haletante, les cheveux mouillés de sueur sur le visage, la bave dégoulinant au coin de ses lèvres, et la mouille inondant ses cuisses et sa couette.
Son écran scintille de curs émis par son audience live. Elle leur sourit :
-Merci mes amours !
Elle n'est plus la fille de sa mère, l'étudiante à moitié sérieuse, l'amie du motard, non elle n'est plus que la petite salope dÉlodie !
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Ecrit en collaboration avec le génialissime auteur pervers HDS : Silveradd
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